Rassemblement  - ACTE 22  Les Gilets Jaunes - Samedi 20 avril 2019

UTILISATION HASHTAG #INFOTRAFLIC pour avertir les blocages de la police !

ACT 23 - ULTIMATUM 2

APPEL NATIONAL ET INTERNATIONAL TOUS A PARIS !

MANIFESTATION DÉCLARÉE !

BERCY 10h30 - Départ 12h30 vers République !

Témoignages des blessés pendant le Mouvement des Gilets Jaunes (Source AFP)

Le site officiel des Pagesgiletsjaune.fr : ICI

 

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez que des cookies soient utilisés afin d'améliorer votre expérience utilisateur et de vous offrir des contenus personnalisés : OK - Info Cookies                                                              

Le site Sosmanifs.info n'appel pas à la violence durant les rassemblements des Gilets Jaunes, mais à une attitude pacifique et responsable.

Le collectif militant « Allo Place Beauvau » 260 blessures à la tête, 23 personnes éborgnées et cinq mains arrachées au cours des manifestations. 13.460 balles de défense ont été tirées depuis le 17 novembre 2018 (Source : Ministère de l'Intérieur - 24 avril 2019)

Bercy Café 8h30, Place du Bataillon-du-Pacifique
Appel national à toutes les Mariannes de France

Groupe Facebook : ICI

HUMOUR

Une mobilisation des Gilets Jaunes est prévue ce samedi 20 avril 2019 pour l'Acte 23. Ça sera le deuxième grand rassemblement au niveau national pour rejoindre la capitale. Plusieurs régions se mobilisent via les groupes Facebook : Auvergne-Rhône-Alpes - Normandie - Occitanie - Bretagne - Picardie - Grand Sud - Provence-Alpes-Côtes-d'Azur - Nouvelle Aquitaine -

Parcours : Bercy, Quai de la Rapée, Bastille, Ménilmontant, Belleville, République. Le trajet a été modifié ce matin alors qu'il devait rejoindre la Place de l'Étoile.

CONTROVERSE : CHANT SUICIDEZ-VOUS  !

Chaque semaine, les médias pro-Macronie vont trouver un angle de tir pour dénigrer le mouvement citoyens des Gilets Jaunes. Lors de l'acte 23, les médias ont reproché que certains manifestants en fin de journée scandent aux policiers, CRS « Suicidez-vous ! ». Selon des témoignages dans le groupe facebook « La France en Colère » une autre version explique la chronologie des évènements. En début de mâtinée, les Gilets Jaunes criaient le slogan « Arrêtez de vous suicider, rejoignez-nous ! » Au file des heures les violences policières ont prit le dessus.... Certains manifestants victimes de gaz lacrymogène, de coup de matraques sous le coup de l'énervement ont modifié leur slogan à l'encontre des forces de l'ordre « Suicidez-vous ! ».

Phil Marso - Dimanche 21 avril 2019

COMMUNIQUÉ APRÈS LE SLOGAN « SUICIDEZ-VOUS ! »

Nous dénonçons avec vigueur les propos invitant les policiers à se suicider, entendus très marginalement et pour la première fois lors de l’acte XXIII des Gilets Jaunes, après plus de cinq mois de mobilisation.

Nous apportons notre soutien total aux familles des vingt-huit policiers et des deux gendarmes qui ont mis fin à leurs jours depuis le début de l’année. Notre solidarité et notre compassion vont aux fonctionnaires qui subissent, comme nous, au quotidien, les politiques de destruction du service public.

Macron et son gouvernement, dont la légitimé ne tient plus qu’à un fil, au service d’une oligarchie qui spolie chaque jour un peu plus l’honnête travail des Français, instrumentalise sans vergogne des forces de l’ordre déjà mises à rude épreuve.

Toutefois, les violences policières constatées de manière répétée durant les vingt-trois semaines de mobilisation restent sans précédent dans l’histoire de la Ve République. Le compte, malheureusement provisoire, fait état de 248 blessures à la tête, 23 personnes éborgnées, 5 mains arrachées, ainsi que le décès de la malheureuse Zineb Redouane, âgée de 80 ans, dont la famille vient de porter plainte. Un certain nombre d’agents, qui ne devraient pas avoir leur place dans la police, acceptent d’obéir à certains ordres au mépris de tout cadre déontologique, et mutilent sciemment des manifestants pacifiques.

La justice devrait à ce sujet se montrer sévère, et l’on est en droit de penser que la séparation des pouvoirs est plus que jamais mise à mal dans ce pays et sous ce gouvernement.

Dans ce contexte de dégradation manifeste du climat social, il paraît évident que des propos malheureux peuvent, et pourront encore surgir ici ou là, sans pour autant emporter l’adhésion générale. Lors du dernier acte, un policier m’a par exemple gentiment proposé de me crever l’œil qu’il me reste.

Par conséquent, nous condamnons la manœuvre des politiciens et des médias qui se sont saisis des propos d’une petite poignée d’individus pour tenter de diaboliser une fois encore les gilets jaunes. Car l’entreprise n’est pas nouvelle, et toutes les pires lâchetés auront été mobilisées en ce sens. On aurait bien aimé voir condamner, avec la même véhémence, les propos de Luc Ferry lorsqu’il appelait à tirer sur les manifestants. On aurait bien aimé voir condamner les bavures à répétition, ainsi que l’extraordinaire rétrécissement des libertés individuelles auquel nous assistons. L’État assume en effet une trajectoire autoritaire dans l’indifférence générale des grands médias, si prompts à s’émouvoir par ailleurs.

Nous n’allons pas tomber dans le piège qui nous est tendu. Nous savons que les policiers et les gendarmes sont fatigués, que les fortes chaleurs à venir seront éprouvantes pour eux, et que leur hiérarchie craint plus que tout qu’ils fraternisent avec leurs compatriotes, unis dans le plus formidable mouvement social qui soit apparu en France depuis plus de cinquante ans.

S’il souhaite réellement mettre un terme à cette situation, nous invitons expressément le président Macron à mettre en actions nos revendications. Il les trouvera par exemple dans les conclusions du Vrai Débat.

Notre détermination est intacte, et nous resterons mobilisés autant qu’il le faudra.

Communiqué - Dimanche 21 avril 2019 - Facebook

Priscillia ludosky, Laetitia Dewalle, Élodie Crisias (95), Faouzy Lellouche, Benoit Le Cam (Chartres), Maxime Nicolle, Philippe Pascot, Nathanaël RAMPHFT (Lille), Hakim Lowe, Jérôme Rodrigues #Lafamille

 

Drapeau Jaune - 150 x 90 cm - 10 €

Boutique Megacom-ik 13 Bd Saint-Marcel - 75013 Paris

16 MARS 2019 : UNE CASSE ORCHESTRÉE PAR LA MACRONIE ?

Contrairement à l'Acte 4, la Préfecture de police n'a pas donné l'ordre de fermer la station Georges V (Ligne 1) qui se trouve pas loin du Fouquet's. Est-ce une volonté délibéré du Ministère de l'Intérieur Christophe Castaner de donner libre accès des casseurs sur l'Avenue des Champs-Élysées en mâtinée ? La station Franklin-Roosevelt était fermée. Un barrage de car de CRS était mise en place un peu plus bas de la sortie Charles de Gaulle Étoile côté haut des Champs-Élysées.

Phil Marso - Dimanche 17 mars 2019

Photos prisent proche de l'Arc de Triomphe vers 10h, ce samedi 16 mars 2019 avant que la situation ce dégrade avec l'arrivée des casseurs en noir cagoulés :

Gilet Jaune - 5 € - Boutique Megacom-ik 13 Bd Saint-Marcel 75013 Paris

Appel d'offre du gouvernement Macron : flash-Balls multi-coups

Le lendemain de l'Acte 6 des Gilets Jaunes, le gouvernement Macron fait un appel d'offre pour s'équiper de flash-balls multi-coups au Bulletin Officiel des Annonces des Marchés Publics sous l'avis N°18-179674 du 23 novembre 2018. source : BOAMP.fr

Florian Philippot du parti politique Les Patriotes a déposé à l'INPI la marque « Les Gilets Jaunes » le 30 novembre 2018 à la veille de l'acte III en vue des élections Européennes 2019. Une tentative de récupération politicienne digne de la mentalité ultra-libérale du C40.  Source : L'Opinion - Jeudi 27 décembre 2018.

« Qu'ils viennent me chercher ! » Emmanuel Macron - Mardi 24 juillet 2018 (Affaire Benalla)

4 points soumis à référendum

Les fondateurs des Gilets Jaunes ont demandé que soit soumis à référendum un texte proposant de modifier la Constitution reposant sur quatre points :

1) donner au peuple le droit de déclencher un référendum en vue de modifier la Constitution et interdire toute modification de la Constitution ;

2) donner au peuple le droit de rédiger ou abroger une loi sur le sujet qu’il choisit ;

3) donner au peuple le droit de demander un référendum sur toutes les lois votées par le Parlement ;

4) obliger le président de la République à présenter tous les traités, accords et pactes internationaux au référendum avant ratification.

Source : Le Monde - Jeudi 13 septembre 2018

 
compteur de visite